lundi 12 décembre 2016

Mood.

 

Hello ^^

J'avoue, je ne sais pas ce que me pousse à prendre mon clavier et à laisser les mots s'écouler. Je ne sais même pas quelle tournure va prendre cet article, je ne sais pas comment le mettre en page et le finir. Je ne sais même pas par où commencer. J’aurai pu être bonne candidate  pour faire de la politique, à ce petit jeu-là.

Voilà exactement 6 jours que j’ai été opérée. Sincèrement, je vais bien. Sans vouloir jouer les dures à cuire, je n’ai quasiment jamais eu mal. Dans les métiers de soin aux personnes ont utilise souvent « l’échelle de la douleur » : tu demandes à un patient de te donner un chiffre de zéro à dix qui te permettra d’évaluer sa douleur. Même si cette échelle est très subjective (dépend des gens, de leur ressentit, de leur capacité à gère la douleur…) cela reste pratique pour mieux entendre et gérer la douleur. 

Sur mon échelle ma douleur s’est cantonnée aux chiffres trois et quatre. C’est peu. J’étais moi-même extrêmement contente de ne pas être au bord du suicide. J’ai été influencée par pas mal de gens qui disaient que la douleur était intenable, que j’allais morfler, douiller, pleurnicher et d’autres qualificatifs pas motivant en –er. Le retrait des mèches de 6 centimètres de longs n’était pas agréable, pour autant ma douleur est montée à six tout au plus. J’avais l’impression qu’on essayait d’extirper mon cerveau, ce qui a bien fait rire le chir ‘ quand je lui ai dit « De toute manière vous n’aurez pas grand-chose à récolter » 




Pourtant je suis incroyablement déçue. 

Voilà donc 6 jours et je ne suis toujours pas au top de ma forme. Je suis à peine à 40% de ce que je suis capable de faire. Il me faut une bonne heure et demie pour m’extirper du lit, m’habiller et déjeuner. Enfin  le « déjeuner » constitue des médicaments à savoir ; antibiotique de derrière les fagots, Médrol (ce truc me file des vertiges Yeah!) et coagulant. Souvent avec un Dafalgan car c’est le seul que je peux prendre qui ne liquéfie pas le sang.  J’ai beaucoup de mal à manger car mes sinus restent très encombré, je dois me moucher doucement et sans forcer histoire de ne pas faire dévier la cloison nasale (le septum) et de toute manière, si je force, je me fais mal et j’ai alors des vertiges. Du coup, sort ce qui doit et le reste reste bien au chaud dans mes cavités sinusales. Du coup j’ai bien souvent des maux de têtes. L'impression qu'on appuie sur ma tête.

Et puis, pour faire cool, j’ai une délicate odeur de sang dans le nez et un goût métallisé en bouche. La grande classe. Sans compter que respirer par le nez reste quelque peu douloureux et que je respire essentiellement par la bouche. Franchement avec les litres de flottes que je descends, ç’est pas pour le moment que j’aurai une cystite.

Bref, je mange un seul repas par jour et c’est le repas complet du soir. Le matin et le midi je me contente de manger une banane, plus pour ne pas laisser mes médocs tout seuls qu’autre chose.

Ha la la, c’est tellement fouillis que j’ai du mal à avancer dans ce que j’écris. 


Comme je disais, je suis incroyablement déçue de ne pas être mieux. En comparaison, lors de mes 17 ans et demi, j’ai été opérée des dents de sagesses, on me les a retirées car elles poussaient en déracinant les molaires. Bonjour les rages de dents carabinées qui me laissent un souvenir vivace. Je ne serai donc jamais sage. Et puis ce n’est pas parce qu’on a une petite bouche qu’on ne peut pas avoir une grande gueule. Et bien, pour cette opération en anesthésie générale, je n’ai pas ressemblé à un hamster et surtout, trois jours après, je courrais partout comme un cabri.

Là ça fait 6 jours et j’envie profondément le cabri de 17 ans.  Parce je suis NA-ZE ! Mais complètement. Je me lève à 10h pour aller me coucher à 21h… pour tout t’avouer, je dois revoir mon chirurgien mercredi pour retirer les « palettes » qui m’aident à garder la cloison droite. C’est avec un remord et une honte non dissimulée que je vais lui demander de prolonger mon certificat de 15 jours. Je suis censée reprendre le travail le 19 et je ne m’en sens pas capable. Du tout.

Ceux qui me connaissent le savent, je ne suis pas tire au flan, je vais bosser avec tout : migraine, sinusite, rhinite… Rien ne m’arrête ou presque. On me rappelle, je suis là ; un changement imprévu, je le prends avec philosophie ; il faut me rajouter un quart temps car une de mes collègues est très malade, je suis dispo… Je suis la bonne poire qui aime son travail et qui, par extension, dit oui à tout. 

Pourtant, l’ambiance du travail me manque, mes collègues me manquent, ma responsable me manque, mes patients me manquent et même mes horaires à la con me manquent. 

Et si c’est pour revenir et faire de la merde, ça ne m’intéresse pas. Ou le travail est bien fait ou je ne le fais pas. 

Pourtant tout le monde est compréhensif : ma responsable m’a bien de « prendre mon temps et de revenir en pleine forme » que « je n’étais pas de celles qui abusent », plusieurs de mes collègues ont bien insisté que « non, Carole, tu ne tires pas sur la corde, si tu dis que tu es mal, c’est que tu es mal », mes grands-parents insistent pour que « je me repose bien et que je n’en fasse pas trop » et mon mari m’a même dit, exaspéré « tu es en convalescence, tu as le droit de ne pas être bien, tu as subi une anesthésie générale et ton bien tripoter le nez ». Mes beaux-parents également savent que je ne suis pour profiter du système. Que ta mère te sonne en te disant : « On s’en fiche de ce qu’il dit, prends soin de toi ! »




Une seule personne m’a appelée le vendredi soir et m’a dit « Ça va ? Tu te reposes moins ? » A comprendre par la que je devais déjà être en pleine forme. Mec, ça fait 48 heures que je sors de l’hosto, t’en demande pas un peu trop ? Une personne à qui j’ai dû mentir en disant que c’était moi qui avait passé l’aspirateur samedi alors que c’était Luc qui m’a dit de rester bien au chaud et l’a passé pour moi… Une personne qui va très certainement me traiter de tire au flan et de profiteuse…

C’est quand même incroyable de se dire que tes collègues, tes patients, ton mari, tes beaux-parents, ta responsable (qui devrait pourtant être la 1ère à râler, mais non !) tes grands parents et même tes voisins ( !) te connaissent mieux que ton propre père… 

Je suis quelqu’un de (je crois) gentil, bienveillant, ouvert d’esprit, respectueux, conciliant… envers les autres. Pas avec moi-même. Même si j’y travaille et que j’ai dur. 

Mercredi à 14h, je vais demander une prolongation de mon certificat, mon mari m’y a fortement encouragée « Cari, t’es pas toi là… », personne n’en redira rien sauf une. Et ça, ça me fait peur. Je n’ai pas envie d’entendre son avis, ses piques ou quoi. 

Pour une fois, je ne suis pas bien, pour une fois je le reconnais et en prend compte et pour une fois, j’aimerai qu’on respecte ça… 

Et je trouve ça encore plus malheureux d’avoir encore peur de ce que mon père va dire/penser/juger, d’avoir encore de compte à lui rendre alors que j’approche de la trentaine. Et que cela ne devrait plus regarder que Luc et moi. 

Je crois que j’ai battu des records, c’est tellement décousu. Mais ça fait du bien de vider son sac parfois… 

Merci d'avoir tenue et de m'avoir lue jusqu'au bout. (Et, une fois de plus, je me demande si publier était une bonne idée...)

Milles bisous et bonne semaine ♥

Cari.

 

14 commentaires:

  1. Halala... Tu sais mon grand père était un chouette gars mais il n'était pas de la même "trempe" que ne l'étaient mes parents ou moi, maintenant, avec ma fille... Ma maman m'a toujours dit qu'elle avait attendu d'avoir 40 ans pour lui dire "merde"... Juste cette anecdote pour te rassurer, tu n'es pas toute seule <3 Prends soin de toi, prends ton temps... Une anesthésie c'est quelque chose de lourd (tu le sais mieux que quiconque)... Inutile de courir pour rentrer et de te choper autre chose... Gros bisous ma belle <3

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    1. Merci Cécile :) C'est ce que je me dit aussi, si c'est en prime pour être malade, non merci quoi :)

      J'espère un jour pouvoir l'envoyer bouler... au final c'est quelqu'un de gentil mais il est tellement maladroit!

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  2. Pas facile en effet. Et les personnes toxiques poualala. Je penses que tu ne dois pas hésiter, si tu ne veux pas couper les ponts, à lui dire "merde" parfois. C'est ton père certes, mais il te doit le respect et son rôle de père veut qu'il soit plutôt bienveillant. Il ne l'est pas (dans ce cas là) alors ne le soit pas non plus. Tu n'es pas bien, c'est ton droit, tu as subi une opération chirurgicale, tu ne sors pas d'un simple rhume ! Depuis que tu bosses (et même plus loin s'il faut) combien de fois as tu posé un arrêt de travail ? Je ne te connais que par Internet mais je penses que tu es le genre de personne à compter ses arrêts de travail sur les doigts d'une seule main. Ne te laisse pas faire, n'ai pas peur de lui ! Tu es malgré tout bien entourée, ne le laisse pas te pourrir ! Franchement, je ne connais pas ton père mais lui dire merde une fois ou deux, lui mettre les points sur les "i" et les barres sur les "t" devrait lui faire du bien, sans pour autant couper les liens puisque j'avais cru comprendre que tu ne voulais pas pour ta maman. Mais il comprendra au moins qu'il ne doit pas trop tirer sur la corde. Reposes toi c'est tout ce que tu dois faire en ce moment !

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    1. Pour répondre à ta question mes arrêts de travail se comptent... en heures! J'ai été suffisamment malade une seule fois au point de rester chez moi. Je comptabilise 5 heures de maladie. C'est vraiment rien sur 7 ans de travail!

      Je lui ai déjà dit merde... gentiment, subtilement, avec humour et même cach... bah il se sait très bien mais il continue. Comme quoi, dans la catégorie "têtue" je sais de qui je tiens.

      Le pire c'est que mon père a tellement fait trinquer son propre corps qu'a 56 ans, il est en invalidité de travail. (on commence seulement à trouver ce qui fonctionne) et je me suis toujours dit "qui veut aller loin ménage sa monture" ma monture étant mon corps j'essaye quand même d'y prendre soin.

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    2. C'est dommage parce que vos relations en pâtissent... Ca pourrait tellement bien se passer, je ne comprend pas qu'il ne voit pas quand il abuse, surtout si tu lui as déjà dit.
      Tu as raison ménage toi et ne culpabilise pas, tu sais que tu es courageuse, tu sais ce que tu vaux, ne le laisse pas détruire ça :)

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    3. Sa tactique c'est de te répéter environs un milliard de fois qu'il aime pas, de te faire un véritable lavage de cerveau et que tu finisse par craquer et te plier à ce qu'il dit. C'est ce genre de gars qui m'a tellement répété "qu'avec mes grands laids cheveux, je bouche tout les siphons et qu'en plus, ça me va pas et c'est moche, et j'en perds partout..." que j'ai fini par recouper à hauteur des épaules (alors que je les avaient aussi longs qu'aujourd'hui) et par pleurer toutes les larmes de mon corps car je l'avais fait sous la pression et que j'adorais mes longs cheveux.

      C'est à force de m'entendre dire que (même si je viens de tout ranger, nettoyer, briquer la maison) "ma maison est dégueulasse et mal rangée que mes enfants seront mal, que je serai une mauvaise mère et que j'aurai les services sociaux à cause de ça on va m'enlever mes enfants" que je suis intimement et fermement convaincue que je serai la pire mère de l'univers... alors qu'on est juste d'accord que c'est de la grosse bullshit. Mais si t'as le malheur d'avoir une petite faille dans ta carapace, ça fini par rentrer... et du coup tu doute de toi sans avoir encore jamais rien fait. Beau travail de sape, n'est-ce pas.

      Et oui les relations en pâtissent parce qu'en plus, il ne comprend pas pourquoi on est pas plus proche... je crois que tout le monde à compris sauf lui!

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    4. Ouais c'est vraiment pas cool. Tu as beaucoup de patience, vraiment et de courage aussi. Je comprends que parfois tu craques. Il va vraiment loin parfois, te dire que tu seras une mauvaise mère juste parce que ta maison n'est pas over clean tous le temps (ou même si elle l'est mais pas assez à son gout) c'est très fort et très méchant, qu'il ne vienne pas chez moi XD. Mais rassures toi, c'est faux. L'amour et le respect voilà les valeurs qu'un enfant doit avoir et il est clair que tu pourras lui offrir contrairement à ce que ton papa t'offre en ce moment :/
      Recentres toi sur le principal, toi, ton mari, les gens bienveillants et lui il faut essayer de le mettre au second plan. Tu vas avoir 30 ans tu n'es plus une gamine, même si un papa peut donner des conseils quand ils sont demandés, il ne doit pas imposer sa façon de vivre ou de voir les choses. Malheureusement tu ne peux rien faire d'autre que subir. Ton mari le supporte ? (bien que je sais que même s'il ne supporte pas c'est ton papa et que c'est délicat pour lui de dire qq chose mais si ça vient de qq d'un peu extérieur peut être que ça pourrait faire un déclic). Ah les parents...

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    5. oups, j'avais pas vu la réponse... et les autres commentaires!

      A départ quand j'ai décris le caractère de mon père, mon mari m'a pas cru (et c'était pas encore mon époux à ce moment-là) en me disant que je devais forcer le trait. Sauf que...non! Il s'est rendu compte tout seul du bonhomme et lui à une tactique inverse: plus tu lui casse les pieds moins il en fait.

      Par contre il ne supporte pas qu'on soit méchant gratuitement avec moi... mais bon mon père ne s'adresse qu'à moi qui doit avoir le logo "La Poste" sur le front... Parce qu'il n'ose rien dire en face à Luc...quia suffisamment de caractère pour l'envoyer chier.

      Plein de gens lui ont déjà fait remarqué son comportement [à mon père], sa mère, ma mère, ses beaux parents, mes beaux parents, ses amis... bah il continue. Je vais m'occuper de faire un diner à un monsieur du village (un vrai journal à ragots mais gentil comme pas deux) et c'est comme ça que j'ai appris que mon père était considéré comme le râleur du village. Comme quoi...

      Moi je prends mes distances au possible et je fais de mon mieux, pour ma mère.

      Mais le jour où ça va pêter, ça le fera comme il faut. Limite que le Mont Saint Hélène et le Vésuve à coté ce sera de la petite bière. Quand je me fâche c'est pour de bon!

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  3. Juste un petit mot pour te souhaiter un prompt rétablissement et t'envoyer des pensées chaleureuses.
    Je te dirais bien d'ignorer ton père, mais je sais que ce n'est pas facile, voire pas possible de dépasser son travail de sape de ton estime de toi qui dure depuis des années.
    Prends soin de toi. Pour ton bien comme pour celui de tes patients, tu dois être en forme avant de reprendre.

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    1. Merci beaucoup ^^

      En plus mes collègues m'ont prévenues: en ce moment le boulot c'est hardcore alors elles préfèrent toutes que je revienne plus tard mais en top forme :)

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  4. Konbawa. o/

    D'abord, je te souhaite de bien te rétablir. Je comprends tout à fait ce que tu traverses, étant sous médicaments h24 et 7 jours sur 7. Je suis déphasée avec le rythme de vie des autres. J'ai tendance à me lever vers 10 heures, alors que je me suis couchée avant 22 heures... et ça tout les jours. Je suis incapable de tenir un emploi, car comme mon traitement m'épuise moralement, mon corps aussi est épuisé... si je devais travailler. J'ai honte de mon état, je l'avoue.

    Pour ce qui est de ton père, je te comprends aussi. Y'a un an, je me suis brouillé avec ma mère pour diverses raisons, on s'est plus parlé pendant des mois, ça m'a fait hyper mal cette rupture. Mais bon, on s'est réconciliés et maintenant, elle a beaucoup changée en mieux et elle me parle plus donc je comprends certains de ses choix qu'elle a eu envers moi... mon père lui, c'est un connard aussi comme le tien. Il est déjà en invalidité alors qu'il a 51 ans. Il est égocentrique et ne comprends rien. Pour lui, il est plus malade que les autres. Ma soeur a eu une opération du dos lourde ( remise en place d'une colonne vertébrale qui souffrait du grave scoliose), il ne voulait pas comprendre que ma souffrait et qu'elle avait pas le droit de demander de ne pas aller au soleil pour éviter que sa cicatrice cicatrise mal
    Enfin bref, moi aussi j'avoue que j'ai dû mal à lui dire non ou à le renvoyer ch***. Mais plus le temps passe, plus je m'aperçois, qu'il est pas aussi gentil qu'il prétend l'être donc parfois, je lui dis ce que je pense mais après je m'en veux parce que je crois que je suis une mauvaise personne. ^^' Comme toi, je suis très dure avec moi-même.

    Pleins d'ondes positives vers toi !

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    1. C'est vrai qu’après on s'en veux... même si le gars le mérite.

      J'espère que ta soeur se remet doucement, je n'ose imaginer une opération pareille ça doit vraiment être difficile (avec port de corset médical...)

      Les gens toxiques et autres personnes négatives sont légions.

      Sorry je n'ai vu ton com que maintenant *va se flageller*

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  5. Hello,
    Tu as mis (sans le savoir) le mot sur ce qui m'a poussé à coupé contact avec mon père durant 4 ans...
    C'est le temps qu'il a fallut pour qu'il ne m'adresse plus de parole malheureuse, déplacée, blessante, insultante, tu peux mettre ici tous les adjectifs que tu veux. Je pouvais plus le blairer et je ne pouvais plus me construire positivement en le fréquentant.
    Courage ! Il faut se marteler le crâne : 1 personne face à des milliers d'autres qui te veulent du bien, est-ce important ? ... non !
    Et du coup, repose-toi bien. Pour aider les autres, faut la forme ! (bwaaa, on est plus tout jeune, déjà... c'est dingue !!!).
    ++

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    1. Figure toi que je me sens très jeune, dans ma tête et c'est grâce au travail. Quand tu t'occupe de gens qui ont dans les 80 ans, t'as l'air d'un bébé à coté!

      J'ai taclé toutes les personnes négatives et néfastes de ma vie... mais quand il y a des liens de sang c'est beaucoup moins facile.

      Je m'efforce de pas trop le voir et puis c'est tout.

      au fait, il m'a dit: c'est bien que tu aie prolongé on voit que t'es pas bien (sans blague?) et quatre jours plus tards me demandaient si j'aurai pas du recommencer plus tôt. A force de ne plus savoir sur quel pied danser, je suis devenue pro de la danse avec médaille d'or à la clé!

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Laisse moi une petite bafouille, j'y répondrais.